Pollution au dioxyde d'azote

Publié le par labrousse

Pollution au dioxyde d'azote
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Pollution au dioxyde d'azote
Pollution au dioxyde d'Azote No2
L'ADEME et Airparif ont remonte et meme double les seuils sans l'autorisation de l'O.M.S a 400µg/m3 d'air sur 1h
C'est un vrai scandale pourquoi Bachelot et Raffarrin ne sont-ils pas traduits devant une cours d’assise pour avoir commis l'irréparable en 2003
Les transports ne sont absolument pour rien dans cette pollution et la FRANCE par l'ADEME ne veut pas respecter les conclusions du G.I.E.C sur la responsabilité des activités humaines
Le fait d'avoir 1h d'avance sur le soleil aggrave cette pollution en hiver et ainsi que la vapeur d'eau des centrales Nucléaires
Qui allument les lumières la nuit pour ce mois de décembre ne veulent pas respecter CAP21 de la Révolution Nationale de l'ADEME
Les pollens en hiver comme explication démontrent la manipulation menée par l'ADEME et Airparif calquées sur la Révolution Nationale de Pétain,,,,
supplémentaires et conditions atmosphériques favorables à l’accumulation). Ces particules, dont les plus petites pénètrent profondément dans les poumons et le sang, sont associées à des morts prématurées à la suite notamment, d’affections respiratoires et cardiovasculaires. Les scientifiques leur attribuent quelques 42 000 décès prématurés par an en France.
Définition et principales sources
Les particules en suspension (notées « PM » en anglais pour « Particulate matter ») sont d’une manière générale les fines particules solides portées par l’eau ou solides et/ou liquides portées par l’air (Wikipédia).
Les particules sont d’origines anthropiques et naturelles.
  • Les particules d’origine naturelle proviennent principalement d’éruptions volcaniques et de l’érosion éolienne naturelle ou issues de l’avancée des déserts (parfois d’origine anthropique), les incendies et feux de végétation.
  • Les activités humaines, telles que le chauffage (notamment au bois), la combustion de combustibles fossiles dans les véhicules, les centrales thermiques et de nombreux procédés industriels en génèrent également d’importantes quantités. Elle sont en augmentation nette depuis deux siècles.
Les particules en suspension dans l’air sont divisées en différentes catégories selon la taille des particules (diamètre aérodynamique).
Les particules fines sont des particules transportées par l’air plus petites que les particules grossières. Elles ont un diamètre aérodynamique inférieur ou égal à 2.5 µm (PM2.5). Les particules fines plus petites que 0.1 µm sont appelées « particules ultrafines » (PM0.1).
  • Les particules fines se forment principalement à partir de gaz.
  • Les particules ultrafines se forment parnucléation,qui est l’étape initiale de la transformation d’un gaz en particules. Ces particules peuvent grandir jusqu’à atteindre une taille de 1µm soit par condensation, lorsque d’autres gaz se condensent sur la particule , soit par coagulation, lorsque deux particules ou plus se combinent pour former une particule plus grande.
La pollution de l'air par les particules peut être d'origine naturelle, notamment lors d'une éruption volcanique ou de feux de forêts. Elle provient également de la combustion du carburant pour les voitures diesel, des centrales thermiques et différents modes de chauffage par combustion du fuel, ainsi que de divers procédés industriels.
La pollution de l'air par les particules a des répercussions importantes sur la santé. Les personnes souffrant d’asthme, de maladie cardiovasculaire ou respiratoire, ainsi que les personnes les plus fragiles, notamment les enfants ou les personnes âgées, y sont sensibles.
Un rapport du programme de surveillance air et santé (PSAS) et de l'Institut de veille sanitaire (INVS) démontre que la pollution par les particules dans l'air ambiant augmente le risque de mortalité en France.
Au cours de la période 2000-2004, les connaissances sur les liens entre la pollution de l'air et le risque de décès ont été actualisés pour 11 millions d'habitants répartis dans 9 villes françaises (Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Paris, Rouen, Le Havre, Strasbourg, Toulouse).
"Sur l’ensemble des neuf villes, le nombre journalier de décès est significativement associé aux niveaux de polluants gazeux ou particulaires le jour et la veille. L’excès de risque de décès est de 2,2 % pour une augmentation de 10µg/m3 des niveaux de PM 2,5 et de PM 2,5-10, ainsi que de 0,9 % pour l’ozone. Il est plus marqué chez les personnes de plus de 65 ans et pour la mortalité cardiovasculaire et cardiaque" conclut un communiqué de l'INVS.
Des études internationales corroborent le rapport français : plus la quantité de particules fines est élevée dans l'air, plus le nombre de décès augmente. La mauvaise qualité de l'air est une menace desanté publique pour la population.
Quels sont les impacts sur la santé ?
L’impact des particules sur la santé dépend de la sensibilité personnelle de chacun : âge, état de santé, tabagisme, prédispositions… Il dépend aussi de l’exposition aux différentes sources de pollution, de la durée d’exposition, du débit respiratoire au moment de l’exposition, mais aussi de l’interaction avec d’autres composés comme par exemple les pollens, les spores fongiques…
Pollution au dioxyde d'azote
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