Nucléaire très dangereux pour la COP21 createur de gaz a effet de serre

Publié le par labrousse

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Nucléaire très dangereux pour la COP21 createur de gaz a effet de serre

Découverte d'une nouvelle source d'acide nitreux : la pollution atmosphérique change de visage.

Des chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL), en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent de mettre en évidence, en laboratoire, l'existence d'une source de production d'acide nitreux (HNO2) inconnue à ce jour : en présence de lumière, le dioxyde d'azote réagit sur des surfaces contenant des composés organiques (de type substance humiques) pour produire ce gaz observé depuis plus de vingt ans dans les environnements pollués et intervenant dans le cycle de formation de l'ozone. Cette production possède un impact potentiel sur la chimie de la troposphère1, et peut modifier en quantité et en qualité la description de la pollution dans les basses couches atmosphériques. Ces travaux paraissent dans Nature le 9 mars 2006.

L'acide nitreux est un élément important de la pollution atmosphérique car il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux hydroxyle (OH•). Ces derniers sont parfois affublés du surnom "détergents de l'atmosphère", car ils oxydent les polluants organiques volatils, amorçant le cycle de production de l'ozone troposphérique.L’acide nitreux HONO est, avec l’ozone et le formald´ehyde, l’un des principaux pr´ecurseurs du radical OH, moteur de la chimie troposph´erique. Nous nous proposons au cours de ce chapitre de pr´esenter le contexte g´en´eral de notre ´etude en discutant, `a partir des ´el´ements connus de sa chimie, des questions qui restent sans r´eponses et de notre apport pour tenter d’y r´epondre. La r´eactivit´e de l’acide nitreux int´eresse majoritairement la chimie de l’atmosph`ere diurne. Cependant, nous ne pouvons n´egliger le fait que la situation chimique des premi`eres heures de la journ´ee soit fortement d´ependante de l’h´eritage chimique de la nuit pr´ec´edente. De mˆeme, l’impact de la chimie diurne ne s’arrˆete pas `a l’analyse des ph´enom`enes qui pr´ec`edent le coucher du soleil mais s’´etend aussi aux eventuelles cons´equences sur l’atmosph`ere des heures de la nuit. Ce th`eme ne peut donc etre abord´e sans rappeler un certain nombre d’informations sur la chimie tropospherique en g´en´eral.

La détermination des concentrations troposphériques en acide nitreux est une véritable gageure du fait des faibles teneurs impliquées. Ainsi, ce gaz était supposé se former principalement la nuit, subissant une photolyse immédiate au lever du soleil. Or, de nouvelles techniques de mesure d'une grande sensibilité, développées au sein de l'université de Wuppertal (Allemagne), ont révélé une production diurne, et des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique. Une collaboration entre l'Université de Wuppertal, l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et le Laboratoire d'Application de la Chimie à l'Environnement à Villeurbanne (CNRS-UCBL) a permis d'identifier la source de cette surproduction. En effet, la décomposition et la transformation de la matière organique biogène aboutit à la formation de substances humiques qui sont par conséquent très répandues à la surface de la Terre[1]. Ces dernières absorbent une fraction du rayonnement lumineux, ce qui facilite à leur surface la photoréduction (dans le visible) du dioxyde d'azote (NO2) à l'origine de la production d'acide nitreux.

L'étude en laboratoire des cinétiques et mécanismes associés à ces photo-transformations a montré qu'elles produisaient de l'acide nitreux avec des taux horaires comparables à ceux observés sur le terrain.

Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique.

Peu émettrice de CO2, l'énergie nucléaire présente cependant un problème d'adaptation en période de froid. "C'est une grosse péniche qui ne peut pas prendre de virage rapidement", explique Nicolas Houdant, gérant d'Energies demain, une entreprise de conseil en énergie auprès des institutions et collectivités territoriales. Les centrales nucléaires sont en effet longues à démarrer, produisent en continu et requièrent une maintenance importante : elles sont mal adaptées à une hausse rapide et ponctuelle de la demande. "Le nucléaire n'est pas un bon moyen pour produire de l'électricité pour le chauffage électrique, car cette énergie coûte très cher : une centrale doit tourner sept mille heures par an alors que nous n'avons besoin que de deux mille heures", estime Pierre Radanne (Ancien President de l'Oragnisation de la Révolution Nationale ADEME). De plus, sur les cinquante-huit réacteurs nucléaires, sept ne fonctionnent pas actuellement pour diverses raisons : la pression de la demande en est accentuée.

Cela prouve bien que le nucléaire et la fameuse Heure Allemande n'a jamais fait des économies d'énergie.

Dominique Maillard, Président du directoire de RTE, est l’invité de l’édition spéciale du midi sur Canal+. Il répond aux questions de Bruce Toussaint sur les risques de panne électrique, en France et plus particulièrement en Bretagne.

Interrogé sur les “records de consommation d’électricité” de ces derniers jours et sur les risques de panne qu’ils peuvent entraîner, Dominique Maillard, Président du directoire de RTE, revient sur la vague de froid touchant actuellement l’hexagone.

Les basses températures (7 degrés au-dessous des normales saisonnières) ont provoqué une hausse importante de la consommation électrique, en particulier à l’heure de pointe. Mais à ce stade, pas de “record” de consommation envisagé.

Le niveau historique à la pointe, de 93 100 MégaWatts, atteint le 11 février 2010, ne devrait pas être dépassé.

Restons vigilants !

Une panne d’électricité géante qui serait sans précédent depuis une trentaine d’années a touché une partie de l’Europe de l’ouest, dont la France, durant une heure et demie dans la nuit de samedi à dimanche.

La panne est venue d’Allemagne et serait due à une surtension sur son réseau, ce qui a affecté par ricochet d’autres réseaux européens livrant du courant à l’Allemagne, comme la France, a-t-on expliqué de sources concordantes à Paris.

D’importants Länder allemands de l’ouest et du sud, représentant environ la moitié des 82 millions d’habitants du pays, ont été affectés, tout comme la Belgique et l’Italie, selon des médias.

L’origine exacte de la panne allemande n’est pas connue avec certitude, mais il semble qu’elle soit due à une forte demande d’électricité résultant de la chute des températures.

Ont été touchées la région industrielle de la Ruhr avec les villes de Cologne, d’Essen et de Gelsenkirchen, de même que le land de Rhénanie-Palatinat, mais aussi la Bavière, la Sarre, le Bade-Würtemberg et la Rhénanie-Westphalie.

AUCUN INCIDENT MAJEUR

Selon le ministère de l’Intérieur français, la panne semble avoir affecté en alternance la quasi-totalité du pays, principalement l’Est et une partie de la région parisienne.

Elle n’a pas provoqué d’incident majeur, hormis quelques retards de trains.

Il s’agirait de l’incident le plus grave sur le réseau depuis les années 1970, a précisé à Reuters Maurice Marion, secrétaire général de la fédération mines-énergie de la CGT.

A la suite de la surtension, un dispositif de sécurité dit de « délestage » a conduit à la coupure de 20% de la puissance électrique distribuée en France, a précisé à Reuters Maurice Marion.

Ce système de sécurité est prévu pour épargner les coupures dans les lieux jugés prioritaires tels que les hôpitaux et les industries et il répartit les coupures pour limiter les nuisances.

« Aucun incident majeur n’a été signalé », a-t-on expliqué à la direction générale de la police nationale.

Environ 80% de l’électricité produite en France est d’origine nucléaire. La panne n’a pas entraîné d’intervention sur les centrales nucléaires du parc français, a précisé Maurice Marion.

La direction d’EDF n’était pas joignable dans la nuit de samedi à dimanche pour commenter l’incident. Aucune information n’a été diffusée sur son site internet.

Combien de pays Africains nous ruinons pour l'uranium au nom de l'économie néo classique libérale du Ministère de l'Industrie rendant hommage au grand pétainiste Jean Bichelonne

De plus la vapeur d'Eau émise par les centrales nucléaires participe a la formation de l'Ozone troposphérique super gaz a effet de serre

C'est l'ADEME qui a fait développer le chauffage électrique afin de démontrer les fameuse économies d'énergie créée par l'Heure Allemande.......;

Vous découvrez un membre du Pétainisme dire des inepties et surtout un des responsable de la mort des 30.000 personne en 2003......

Les Pétainistes de l'ADEME sont dans un manque d'énergie a confirmer leur soutien a l''Heure Allemande des communications et des transports vers les camps de la Mort

A force de piller l'Afrique on va devoir aller chercher de l'Uranium dans le Larzac........

Les émissions directes de vapeur d'eau des hommes (provenant des centrales électriques - pas seulemement nucléaires ! - , de l'irrigation, des barrages, de la déforestation...) et ne sont donc pas prises en compte dans les émissions humaines. En effet, sur une planète couverte aux 2/3 d'eau (les océans), et compte tenu du fait que l'eau ne s'accumule pas dans l'atmosphère - où son temps de résidence est de l'ordre d'une semaine seulement -, les émissions d'origine humaine sont totalement aggravées en France dans le cycle global de l'eau (à titre indicatif, les émissions annuelles de vapeur d'eau de l'humanité provenant de la combustion des hydrocarbures représentent moins de 1% de l'évaporation naturelle survenant en une seule journée). L'action de l'homme peut très significativement perturber le cycle local de l'eau (la Mer d'Aral ou le barrage d'Assouan en offrent de bons exemples), mais cela n'a pas de répercussions significatives au niveau de la teneur moyenne en vapeur d'eau de l'ensemble de l'atmosphère, or c'est celle-là qui gouverne l'effet de serre qui en résulte.

Ce qui précède explique pourquoi il n'est pas tenu compte de la vapeur d'eau, excepté dans quelques cas bien particuliers tels l'aviation, lorsque l'on calcule les émissions de gaz à effet de serre liées à l'activité humaine.

Voilà un très bon calcul qui arrange l'ADEME et le Ministère de l'Industrie

L'ozone (O3) troposphérique engendre enfin environ 10% de l'effet de serre anthropique. L'ozone est une variante de l'oxygène (une molécule d'ozone comporte 3 atomes d'oxygène au lieu de 2 pour le gaz "oxygène" normal) qui est naturellement présent dans l'atmosphère. Selon l'endroit où il se trouve il nous intéresse beaucoup ou il nous est nuisible :

Découverte d'une nouvelle source d'acide nitreux : la pollution atmosphérique change de visage.

Des chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL), en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent de mettre en évidence, en laboratoire, l'existence d'une source de production d'acide nitreux (HNO2) inconnue à ce jour : en présence de lumière, le dioxyde d'azote réagit sur des surfaces contenant des composés organiques (de type substance humiques) pour produire ce gaz observé depuis plus de vingt ans dans les environnements pollués et intervenant dans le cycle de formation de l'ozone. Cette production possède un impact potentiel sur la chimie de la troposphère1, et peut modifier en quantité et en qualité la description de la pollution dans les basses couches atmosphériques. Ces travaux paraissent dans Nature le 9 mars 2006.

L'acide nitreux est un élément important de la pollution atmosphérique car il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux hydroxyle (OH•). Ces derniers sont parfois affublés du surnom "détergents de l'atmosphère", car ils oxydent les polluants organiques volatils, amorçant le cycle de production de l'ozone troposphérique.L’acide nitreux HONO est, avec l’ozone et le formald´ehyde, l’un des principaux pr´ecurseurs du radical OH, moteur de la chimie troposph´erique. Nous nous proposons au cours de ce chapitre de pr´esenter le contexte g´en´eral de notre ´etude en discutant, `a partir des ´el´ements connus de sa chimie, des questions qui restent sans r´eponses et de notre apport pour tenter d’y r´epondre. La r´eactivit´e de l’acide nitreux int´eresse majoritairement la chimie de l’atmosph`ere diurne. Cependant, nous ne pouvons n´egliger le fait que la situation chimique des premi`eres heures de la journ´ee soit fortement d´ependante de l’h´eritage chimique de la nuit pr´ec´edente. De mˆeme, l’impact de la chimie diurne ne s’arrˆete pas `a l’analyse des ph´enom`enes qui pr´ec`edent le coucher du soleil mais s’´etend aussi aux eventuelles cons´equences sur l’atmosph`ere des heures de la nuit. Ce th`eme ne peut donc etre abord´e sans rappeler un certain nombre d’informations sur la chimie tropospherique en g´en´eral.

La détermination des concentrations troposphériques en acide nitreux est une véritable gageure du fait des faibles teneurs impliquées. Ainsi, ce gaz était supposé se former principalement la nuit, subissant une photolyse immédiate au lever du soleil. Or, de nouvelles techniques de mesure d'une grande sensibilité, développées au sein de l'université de Wuppertal (Allemagne), ont révélé une production diurne, et des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique. Une collaboration entre l'Université de Wuppertal, l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et le Laboratoire d'Application de la Chimie à l'Environnement à Villeurbanne (CNRS-UCBL) a permis d'identifier la source de cette surproduction. En effet, la décomposition et la transformation de la matière organique biogène aboutit à la formation de substances humiques qui sont par conséquent très répandues à la surface de la Terre[1]. Ces dernières absorbent une fraction du rayonnement lumineux, ce qui facilite à leur surface la photoréduction (dans le visible) du dioxyde d'azote (NO2) à l'origine de la production d'acide nitreux.

L'étude en laboratoire des cinétiques et mécanismes associés à ces photo-transformations a montré qu'elles produisaient de l'acide nitreux avec des taux horaires comparables à ceux observés sur le terrain.

Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique.

Peu émettrice de CO2, l'énergie nucléaire présente cependant un problème d'adaptation en période de froid. "C'est une grosse péniche qui ne peut pas prendre de virage rapidement", explique Nicolas Houdant, gérant d'Energies demain, une entreprise de conseil en énergie auprès des institutions et collectivités territoriales. Les centrales nucléaires sont en effet longues à démarrer, produisent en continu et requièrent une maintenance importante : elles sont mal adaptées à une hausse rapide et ponctuelle de la demande. "Le nucléaire n'est pas un bon moyen pour produire de l'électricité pour le chauffage électrique, car cette énergie coûte très cher : une centrale doit tourner sept mille heures par an alors que nous n'avons besoin que de deux mille heures", estime Pierre Radanne (Ancien President de l'Oragnisation de la Révolution Nationale ADEME). De plus, sur les cinquante-huit réacteurs nucléaires, sept ne fonctionnent pas actuellement pour diverses raisons : la pression de la demande en est accentuée.

Cela prouve bien que le nucléaire et la fameuse Heure Allemande n'a jamais fait des économies d'énergie.

Dominique Maillard, Président du directoire de RTE, est l’invité de l’édition spéciale du midi sur Canal+. Il répond aux questions de Bruce Toussaint sur les risques de panne électrique, en France et plus particulièrement en Bretagne.

Interrogé sur les “records de consommation d’électricité” de ces derniers jours et sur les risques de panne qu’ils peuvent entraîner, Dominique Maillard, Président du directoire de RTE, revient sur la vague de froid touchant actuellement l’hexagone.

Les basses températures (7 degrés au-dessous des normales saisonnières) ont provoqué une hausse importante de la consommation électrique, en particulier à l’heure de pointe. Mais à ce stade, pas de “record” de consommation envisagé.

Le niveau historique à la pointe, de 93 100 MégaWatts, atteint le 11 février 2010, ne devrait pas être dépassé.

Restons vigilants !

Une panne d’électricité géante qui serait sans précédent depuis une trentaine d’années a touché une partie de l’Europe de l’ouest, dont la France, durant une heure et demie dans la nuit de samedi à dimanche.

La panne est venue d’Allemagne et serait due à une surtension sur son réseau, ce qui a affecté par ricochet d’autres réseaux européens livrant du courant à l’Allemagne, comme la France, a-t-on expliqué de sources concordantes à Paris.

D’importants Länder allemands de l’ouest et du sud, représentant environ la moitié des 82 millions d’habitants du pays, ont été affectés, tout comme la Belgique et l’Italie, selon des médias.

L’origine exacte de la panne allemande n’est pas connue avec certitude, mais il semble qu’elle soit due à une forte demande d’électricité résultant de la chute des températures.

Ont été touchées la région industrielle de la Ruhr avec les villes de Cologne, d’Essen et de Gelsenkirchen, de même que le land de Rhénanie-Palatinat, mais aussi la Bavière, la Sarre, le Bade-Würtemberg et la Rhénanie-Westphalie.

AUCUN INCIDENT MAJEUR

Selon le ministère de l’Intérieur français, la panne semble avoir affecté en alternance la quasi-totalité du pays, principalement l’Est et une partie de la région parisienne.

Elle n’a pas provoqué d’incident majeur, hormis quelques retards de trains.

Il s’agirait de l’incident le plus grave sur le réseau depuis les années 1970, a précisé à Reuters Maurice Marion, secrétaire général de la fédération mines-énergie de la CGT.

A la suite de la surtension, un dispositif de sécurité dit de « délestage » a conduit à la coupure de 20% de la puissance électrique distribuée en France, a précisé à Reuters Maurice Marion.

Ce système de sécurité est prévu pour épargner les coupures dans les lieux jugés prioritaires tels que les hôpitaux et les industries et il répartit les coupures pour limiter les nuisances.

« Aucun incident majeur n’a été signalé », a-t-on expliqué à la direction générale de la police nationale.

Environ 80% de l’électricité produite en France est d’origine nucléaire. La panne n’a pas entraîné d’intervention sur les centrales nucléaires du parc français, a précisé Maurice Marion.

La direction d’EDF n’était pas joignable dans la nuit de samedi à dimanche pour commenter l’incident. Aucune information n’a été diffusée sur son site internet.

Combien de pays Africains nous ruinons pour l'uranium au nom de l'économie néo classique libérale du Ministère de l'Industrie rendant hommage au grand pétainiste Jean Bichelonne

De plus la vapeur d'Eau émise par les centrales nucléaires participe a la formation de l'Ozone troposphérique super gaz a effet de serre

C'est l'ADEME qui a fait développer le chauffage électrique afin de démontrer les fameuse économies d'énergie créée par l'Heure Allemande.......;

Vous découvrez un membre du Pétainisme dire des inepties et surtout un des responsable de la mort des 30.000 personne en 2003......

Les Pétainistes de l'ADEME sont dans un manque d'énergie a confirmer leur soutien a l''Heure Allemande des communications et des transports vers les camps de la Mort

A force de piller l'Afrique on va devoir aller chercher de l'Uranium dans le Larzac........

Les émissions directes de vapeur d'eau des hommes (provenant des centrales électriques - pas seulemement nucléaires ! - , de l'irrigation, des barrages, de la déforestation...) et ne sont donc pas prises en compte dans les émissions humaines. En effet, sur une planète couverte aux 2/3 d'eau (les océans), et compte tenu du fait que l'eau ne s'accumule pas dans l'atmosphère - où son temps de résidence est de l'ordre d'une semaine seulement -, les émissions d'origine humaine sont totalement aggravées en France dans le cycle global de l'eau (à titre indicatif, les émissions annuelles de vapeur d'eau de l'humanité provenant de la combustion des hydrocarbures représentent moins de 1% de l'évaporation naturelle survenant en une seule journée). L'action de l'homme peut très significativement perturber le cycle local de l'eau (la Mer d'Aral ou le barrage d'Assouan en offrent de bons exemples), mais cela n'a pas de répercussions significatives au niveau de la teneur moyenne en vapeur d'eau de l'ensemble de l'atmosphère, or c'est celle-là qui gouverne l'effet de serre qui en résulte.

Ce qui précède explique pourquoi il n'est pas tenu compte de la vapeur d'eau, excepté dans quelques cas bien particuliers tels l'aviation, lorsque l'on calcule les émissions de gaz à effet de serre liées à l'activité humaine.

Voilà un très bon calcul qui arrange l'ADEME et le Ministère de l'Industrie

L'ozone (O3) troposphérique engendre enfin environ 10% de l'effet de serre anthropique. L'ozone est une variante de l'oxygène (une molécule d'ozone comporte 3 atomes d'oxygène au lieu de 2 pour le gaz "oxygène" normal) qui est naturellement présent dans l'atmosphère. Selon l'endroit où il se trouve il nous intéresse beaucoup ou il nous est nuisible :

Découverte d'une nouvelle source d'acide nitreux : la pollution atmosphérique change de visage.

Des chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL), en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent de mettre en évidence, en laboratoire, l'existence d'une source de production d'acide nitreux (HNO2) inconnue à ce jour : en présence de lumière, le dioxyde d'azote réagit sur des surfaces contenant des composés organiques (de type substance humiques) pour produire ce gaz observé depuis plus de vingt ans dans les environnements pollués et intervenant dans le cycle de formation de l'ozone. Cette production possède un impact potentiel sur la chimie de la troposphère1, et peut modifier en quantité et en qualité la description de la pollution dans les basses couches atmosphériques. Ces travaux paraissent dans Nature le 9 mars 2006.

L'acide nitreux est un élément important de la pollution atmosphérique car il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux hydroxyle (OH•). Ces derniers sont parfois affublés du surnom "détergents de l'atmosphère", car ils oxydent les polluants organiques volatils, amorçant le cycle de production de l'ozone troposphérique.L’acide nitreux HONO est, avec l’ozone et le formald´ehyde, l’un des principaux pr´ecurseurs du radical OH, moteur de la chimie troposph´erique. Nous nous proposons au cours de ce chapitre de pr´esenter le contexte g´en´eral de notre ´etude en discutant, `a partir des ´el´ements connus de sa chimie, des questions qui restent sans r´eponses et de notre apport pour tenter d’y r´epondre. La r´eactivit´e de l’acide nitreux int´eresse majoritairement la chimie de l’atmosph`ere diurne. Cependant, nous ne pouvons n´egliger le fait que la situation chimique des premi`eres heures de la journ´ee soit fortement d´ependante de l’h´eritage chimique de la nuit pr´ec´edente. De mˆeme, l’impact de la chimie diurne ne s’arrˆete pas `a l’analyse des ph´enom`enes qui pr´ec`edent le coucher du soleil mais s’´etend aussi aux eventuelles cons´equences sur l’atmosph`ere des heures de la nuit. Ce th`eme ne peut donc etre abord´e sans rappeler un certain nombre d’informations sur la chimie tropospherique en g´en´eral.

La détermination des concentrations troposphériques en acide nitreux est une véritable gageure du fait des faibles teneurs impliquées. Ainsi, ce gaz était supposé se former principalement la nuit, subissant une photolyse immédiate au lever du soleil. Or, de nouvelles techniques de mesure d'une grande sensibilité, développées au sein de l'université de Wuppertal (Allemagne), ont révélé une production diurne, et des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique. Une collaboration entre l'Université de Wuppertal, l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et le Laboratoire d'Application de la Chimie à l'Environnement à Villeurbanne (CNRS-UCBL) a permis d'identifier la source de cette surproduction. En effet, la décomposition et la transformation de la matière organique biogène aboutit à la formation de substances humiques qui sont par conséquent très répandues à la surface de la Terre[1]. Ces dernières absorbent une fraction du rayonnement lumineux, ce qui facilite à leur surface la photoréduction (dans le visible) du dioxyde d'azote (NO2) à l'origine de la production d'acide nitreux.

L'étude en laboratoire des cinétiques et mécanismes associés à ces photo-transformations a montré qu'elles produisaient de l'acide nitreux avec des taux horaires comparables à ceux observés sur le terrain.

Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique.

Peu émettrice de CO2, l'énergie nucléaire présente cependant un problème d'adaptation en période de froid. "C'est une grosse péniche qui ne peut pas prendre de virage rapidement", explique Nicolas Houdant, gérant d'Energies demain, une entreprise de conseil en énergie auprès des institutions et collectivités territoriales. Les centrales nucléaires sont en effet longues à démarrer, produisent en continu et requièrent une maintenance importante : elles sont mal adaptées à une hausse rapide et ponctuelle de la demande. "Le nucléaire n'est pas un bon moyen pour produire de l'électricité pour le chauffage électrique, car cette énergie coûte très cher : une centrale doit tourner sept mille heures par an alors que nous n'avons besoin que de deux mille heures", estime Pierre Radanne (Ancien President de l'Oragnisation de la Révolution Nationale ADEME). De plus, sur les cinquante-huit réacteurs nucléaires, sept ne fonctionnent pas actuellement pour diverses raisons : la pression de la demande en est accentuée.

Cela prouve bien que le nucléaire et la fameuse Heure Allemande n'a jamais fait des économies d'énergie.

Dominique Maillard, Président du directoire de RTE, est l’invité de l’édition spéciale du midi sur Canal+. Il répond aux questions de Bruce Toussaint sur les risques de panne électrique, en France et plus particulièrement en Bretagne.

Interrogé sur les “records de consommation d’électricité” de ces derniers jours et sur les risques de panne qu’ils peuvent entraîner, Dominique Maillard, Président du directoire de RTE, revient sur la vague de froid touchant actuellement l’hexagone.

Les basses températures (7 degrés au-dessous des normales saisonnières) ont provoqué une hausse importante de la consommation électrique, en particulier à l’heure de pointe. Mais à ce stade, pas de “record” de consommation envisagé.

Le niveau historique à la pointe, de 93 100 MégaWatts, atteint le 11 février 2010, ne devrait pas être dépassé.

Restons vigilants !

Une panne d’électricité géante qui serait sans précédent depuis une trentaine d’années a touché une partie de l’Europe de l’ouest, dont la France, durant une heure et demie dans la nuit de samedi à dimanche.

La panne est venue d’Allemagne et serait due à une surtension sur son réseau, ce qui a affecté par ricochet d’autres réseaux européens livrant du courant à l’Allemagne, comme la France, a-t-on expliqué de sources concordantes à Paris.

D’importants Länder allemands de l’ouest et du sud, représentant environ la moitié des 82 millions d’habitants du pays, ont été affectés, tout comme la Belgique et l’Italie, selon des médias.

L’origine exacte de la panne allemande n’est pas connue avec certitude, mais il semble qu’elle soit due à une forte demande d’électricité résultant de la chute des températures.

Ont été touchées la région industrielle de la Ruhr avec les villes de Cologne, d’Essen et de Gelsenkirchen, de même que le land de Rhénanie-Palatinat, mais aussi la Bavière, la Sarre, le Bade-Würtemberg et la Rhénanie-Westphalie.

AUCUN INCIDENT MAJEUR

Selon le ministère de l’Intérieur français, la panne semble avoir affecté en alternance la quasi-totalité du pays, principalement l’Est et une partie de la région parisienne.

Elle n’a pas provoqué d’incident majeur, hormis quelques retards de trains.

Il s’agirait de l’incident le plus grave sur le réseau depuis les années 1970, a précisé à Reuters Maurice Marion, secrétaire général de la fédération mines-énergie de la CGT.

A la suite de la surtension, un dispositif de sécurité dit de « délestage » a conduit à la coupure de 20% de la puissance électrique distribuée en France, a précisé à Reuters Maurice Marion.

Ce système de sécurité est prévu pour épargner les coupures dans les lieux jugés prioritaires tels que les hôpitaux et les industries et il répartit les coupures pour limiter les nuisances.

« Aucun incident majeur n’a été signalé », a-t-on expliqué à la direction générale de la police nationale.

Environ 80% de l’électricité produite en France est d’origine nucléaire. La panne n’a pas entraîné d’intervention sur les centrales nucléaires du parc français, a précisé Maurice Marion.

La direction d’EDF n’était pas joignable dans la nuit de samedi à dimanche pour commenter l’incident. Aucune information n’a été diffusée sur son site internet.

Combien de pays Africains nous ruinons pour l'uranium au nom de l'économie néo classique libérale du Ministère de l'Industrie rendant hommage au grand pétainiste Jean Bichelonne

De plus la vapeur d'Eau émise par les centrales nucléaires participe a la formation de l'Ozone troposphérique super gaz a effet de serre

C'est l'ADEME qui a fait développer le chauffage électrique afin de démontrer les fameuse économies d'énergie créée par l'Heure Allemande.......;

Vous découvrez un membre du Pétainisme dire des inepties et surtout un des responsable de la mort des 30.000 personne en 2003......

Les Pétainistes de l'ADEME sont dans un manque d'énergie a confirmer leur soutien a l''Heure Allemande des communications et des transports vers les camps de la Mort

A force de piller l'Afrique on va devoir aller chercher de l'Uranium dans le Larzac........

Les émissions directes de vapeur d'eau des hommes (provenant des centrales électriques - pas seulemement nucléaires ! - , de l'irrigation, des barrages, de la déforestation...) et ne sont donc pas prises en compte dans les émissions humaines. En effet, sur une planète couverte aux 2/3 d'eau (les océans), et compte tenu du fait que l'eau ne s'accumule pas dans l'atmosphère - où son temps de résidence est de l'ordre d'une semaine seulement -, les émissions d'origine humaine sont totalement aggravées en France dans le cycle global de l'eau (à titre indicatif, les émissions annuelles de vapeur d'eau de l'humanité provenant de la combustion des hydrocarbures représentent moins de 1% de l'évaporation naturelle survenant en une seule journée). L'action de l'homme peut très significativement perturber le cycle local de l'eau (la Mer d'Aral ou le barrage d'Assouan en offrent de bons exemples), mais cela n'a pas de répercussions significatives au niveau de la teneur moyenne en vapeur d'eau de l'ensemble de l'atmosphère, or c'est celle-là qui gouverne l'effet de serre qui en résulte.

Ce qui précède explique pourquoi il n'est pas tenu compte de la vapeur d'eau, excepté dans quelques cas bien particuliers tels l'aviation, lorsque l'on calcule les émissions de gaz à effet de serre liées à l'activité humaine.

Voilà un très bon calcul qui arrange l'ADEME et le Ministère de l'Industrie

L'ozone (O3) troposphérique engendre enfin environ 10% de l'effet de serre anthropique. L'ozone est une variante de l'oxygène (une molécule d'ozone comporte 3 atomes d'oxygène au lieu de 2 pour le gaz "oxygène" normal) qui est naturellement présent dans l'atmosphère. Selon l'endroit où il se trouve il nous intéresse beaucoup ou il nous est nuisible :

Découverte d'une nouvelle source d'acide nitreux : la pollution atmosphérique change de visage.

Des chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL), en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent de mettre en évidence, en laboratoire, l'existence d'une source de production d'acide nitreux (HNO2) inconnue à ce jour : en présence de lumière, le dioxyde d'azote réagit sur des surfaces contenant des composés organiques (de type substance humiques) pour produire ce gaz observé depuis plus de vingt ans dans les environnements pollués et intervenant dans le cycle de formation de l'ozone. Cette production possède un impact potentiel sur la chimie de la troposphère1, et peut modifier en quantité et en qualité la description de la pollution dans les basses couches atmosphériques. Ces travaux paraissent dans Nature le 9 mars 2006.

L'acide nitreux est un élément important de la pollution atmosphérique car il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux hydroxyle (OH•). Ces derniers sont parfois affublés du surnom "détergents de l'atmosphère", car ils oxydent les polluants organiques volatils, amorçant le cycle de production de l'ozone troposphérique.L’acide nitreux HONO est, avec l’ozone et le formald´ehyde, l’un des principaux pr´ecurseurs du radical OH, moteur de la chimie troposph´erique. Nous nous proposons au cours de ce chapitre de pr´esenter le contexte g´en´eral de notre ´etude en discutant, `a partir des ´el´ements connus de sa chimie, des questions qui restent sans r´eponses et de notre apport pour tenter d’y r´epondre. La r´eactivit´e de l’acide nitreux int´eresse majoritairement la chimie de l’atmosph`ere diurne. Cependant, nous ne pouvons n´egliger le fait que la situation chimique des premi`eres heures de la journ´ee soit fortement d´ependante de l’h´eritage chimique de la nuit pr´ec´edente. De mˆeme, l’impact de la chimie diurne ne s’arrˆete pas `a l’analyse des ph´enom`enes qui pr´ec`edent le coucher du soleil mais s’´etend aussi aux eventuelles cons´equences sur l’atmosph`ere des heures de la nuit. Ce th`eme ne peut donc etre abord´e sans rappeler un certain nombre d’informations sur la chimie tropospherique en g´en´eral.

La détermination des concentrations troposphériques en acide nitreux est une véritable gageure du fait des faibles teneurs impliquées. Ainsi, ce gaz était supposé se former principalement la nuit, subissant une photolyse immédiate au lever du soleil. Or, de nouvelles techniques de mesure d'une grande sensibilité, développées au sein de l'université de Wuppertal (Allemagne), ont révélé une production diurne, et des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique. Une collaboration entre l'Université de Wuppertal, l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et le Laboratoire d'Application de la Chimie à l'Environnement à Villeurbanne (CNRS-UCBL) a permis d'identifier la source de cette surproduction. En effet, la décomposition et la transformation de la matière organique biogène aboutit à la formation de substances humiques qui sont par conséquent très répandues à la surface de la Terre[1]. Ces dernières absorbent une fraction du rayonnement lumineux, ce qui facilite à leur surface la photoréduction (dans le visible) du dioxyde d'azote (NO2) à l'origine de la production d'acide nitreux.

L'étude en laboratoire des cinétiques et mécanismes associés à ces photo-transformations a montré qu'elles produisaient de l'acide nitreux avec des taux horaires comparables à ceux observés sur le terrain.

Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique.

Peu émettrice de CO2, l'énergie nucléaire présente cependant un problème d'adaptation en période de froid. "C'est une grosse péniche qui ne peut pas prendre de virage rapidement", explique Nicolas Houdant, gérant d'Energies demain, une entreprise de conseil en énergie auprès des institutions et collectivités territoriales. Les centrales nucléaires sont en effet longues à démarrer, produisent en continu et requièrent une maintenance importante : elles sont mal adaptées à une hausse rapide et ponctuelle de la demande. "Le nucléaire n'est pas un bon moyen pour produire de l'électricité pour le chauffage électrique, car cette énergie coûte très cher : une centrale doit tourner sept mille heures par an alors que nous n'avons besoin que de deux mille heures", estime Pierre Radanne (Ancien President de l'Oragnisation de la Révolution Nationale ADEME). De plus, sur les cinquante-huit réacteurs nucléaires, sept ne fonctionnent pas actuellement pour diverses raisons : la pression de la demande en est accentuée.

Cela prouve bien que le nucléaire et la fameuse Heure Allemande n'a jamais fait des économies d'énergie.

Dominique Maillard, Président du directoire de RTE, est l’invité de l’édition spéciale du midi sur Canal+. Il répond aux questions de Bruce Toussaint sur les risques de panne électrique, en France et plus particulièrement en Bretagne.

Interrogé sur les “records de consommation d’électricité” de ces derniers jours et sur les risques de panne qu’ils peuvent entraîner, Dominique Maillard, Président du directoire de RTE, revient sur la vague de froid touchant actuellement l’hexagone.

Les basses températures (7 degrés au-dessous des normales saisonnières) ont provoqué une hausse importante de la consommation électrique, en particulier à l’heure de pointe. Mais à ce stade, pas de “record” de consommation envisagé.

Le niveau historique à la pointe, de 93 100 MégaWatts, atteint le 11 février 2010, ne devrait pas être dépassé.

Restons vigilants !

Une panne d’électricité géante qui serait sans précédent depuis une trentaine d’années a touché une partie de l’Europe de l’ouest, dont la France, durant une heure et demie dans la nuit de samedi à dimanche.

La panne est venue d’Allemagne et serait due à une surtension sur son réseau, ce qui a affecté par ricochet d’autres réseaux européens livrant du courant à l’Allemagne, comme la France, a-t-on expliqué de sources concordantes à Paris.

D’importants Länder allemands de l’ouest et du sud, représentant environ la moitié des 82 millions d’habitants du pays, ont été affectés, tout comme la Belgique et l’Italie, selon des médias.

L’origine exacte de la panne allemande n’est pas connue avec certitude, mais il semble qu’elle soit due à une forte demande d’électricité résultant de la chute des températures.

Ont été touchées la région industrielle de la Ruhr avec les villes de Cologne, d’Essen et de Gelsenkirchen, de même que le land de Rhénanie-Palatinat, mais aussi la Bavière, la Sarre, le Bade-Würtemberg et la Rhénanie-Westphalie.

AUCUN INCIDENT MAJEUR

Selon le ministère de l’Intérieur français, la panne semble avoir affecté en alternance la quasi-totalité du pays, principalement l’Est et une partie de la région parisienne.

Elle n’a pas provoqué d’incident majeur, hormis quelques retards de trains.

Il s’agirait de l’incident le plus grave sur le réseau depuis les années 1970, a précisé à Reuters Maurice Marion, secrétaire général de la fédération mines-énergie de la CGT.

A la suite de la surtension, un dispositif de sécurité dit de « délestage » a conduit à la coupure de 20% de la puissance électrique distribuée en France, a précisé à Reuters Maurice Marion.

Ce système de sécurité est prévu pour épargner les coupures dans les lieux jugés prioritaires tels que les hôpitaux et les industries et il répartit les coupures pour limiter les nuisances.

« Aucun incident majeur n’a été signalé », a-t-on expliqué à la direction générale de la police nationale.

Environ 80% de l’électricité produite en France est d’origine nucléaire. La panne n’a pas entraîné d’intervention sur les centrales nucléaires du parc français, a précisé Maurice Marion.

La direction d’EDF n’était pas joignable dans la nuit de samedi à dimanche pour commenter l’incident. Aucune information n’a été diffusée sur son site internet.

Combien de pays Africains nous ruinons pour l'uranium au nom de l'économie néo classique libérale du Ministère de l'Industrie rendant hommage au grand pétainiste Jean Bichelonne

De plus la vapeur d'Eau émise par les centrales nucléaires participe a la formation de l'Ozone troposphérique super gaz a effet de serre

C'est l'ADEME qui a fait développer le chauffage électrique afin de démontrer les fameuse économies d'énergie créée par l'Heure Allemande.......;

Vous découvrez un membre du Pétainisme dire des inepties et surtout un des responsable de la mort des 30.000 personne en 2003......

Les Pétainistes de l'ADEME sont dans un manque d'énergie a confirmer leur soutien a l''Heure Allemande des communications et des transports vers les camps de la Mort

A force de piller l'Afrique on va devoir aller chercher de l'Uranium dans le Larzac........

Les émissions directes de vapeur d'eau des hommes (provenant des centrales électriques - pas seulemement nucléaires ! - , de l'irrigation, des barrages, de la déforestation...) et ne sont donc pas prises en compte dans les émissions humaines. En effet, sur une planète couverte aux 2/3 d'eau (les océans), et compte tenu du fait que l'eau ne s'accumule pas dans l'atmosphère - où son temps de résidence est de l'ordre d'une semaine seulement -, les émissions d'origine humaine sont totalement aggravées en France dans le cycle global de l'eau (à titre indicatif, les émissions annuelles de vapeur d'eau de l'humanité provenant de la combustion des hydrocarbures représentent moins de 1% de l'évaporation naturelle survenant en une seule journée). L'action de l'homme peut très significativement perturber le cycle local de l'eau (la Mer d'Aral ou le barrage d'Assouan en offrent de bons exemples), mais cela n'a pas de répercussions significatives au niveau de la teneur moyenne en vapeur d'eau de l'ensemble de l'atmosphère, or c'est celle-là qui gouverne l'effet de serre qui en résulte.

Ce qui précède explique pourquoi il n'est pas tenu compte de la vapeur d'eau, excepté dans quelques cas bien particuliers tels l'aviation, lorsque l'on calcule les émissions de gaz à effet de serre liées à l'activité humaine.

Voilà un très bon calcul qui arrange l'ADEME et le Ministère de l'Industrie

L'ozone (O3) troposphérique engendre enfin environ 10% de l'effet de serre anthropique. L'ozone est une variante de l'oxygène (une molécule d'ozone comporte 3 atomes d'oxygène au lieu de 2 pour le gaz "oxygène" normal) qui est naturellement présent dans l'atmosphère. Selon l'endroit où il se trouve il nous intéresse beaucoup ou il nous est nuisible :

Découverte d'une nouvelle source d'acide nitreux : la pollution atmosphérique change de visage.

Des chercheurs du Laboratoire d'application de la Chimie à l'Environnement Villeurbanne (LACE, CNRS-UCBL), en collaboration avec l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et l'Université de Wuppertal (Allemagne) viennent de mettre en évidence, en laboratoire, l'existence d'une source de production d'acide nitreux (HNO2) inconnue à ce jour : en présence de lumière, le dioxyde d'azote réagit sur des surfaces contenant des composés organiques (de type substance humiques) pour produire ce gaz observé depuis plus de vingt ans dans les environnements pollués et intervenant dans le cycle de formation de l'ozone. Cette production possède un impact potentiel sur la chimie de la troposphère1, et peut modifier en quantité et en qualité la description de la pollution dans les basses couches atmosphériques. Ces travaux paraissent dans Nature le 9 mars 2006.

L'acide nitreux est un élément important de la pollution atmosphérique car il possède la particularité d'interagir avec la lumière et de libérer des radicaux hydroxyle (OH•). Ces derniers sont parfois affublés du surnom "détergents de l'atmosphère", car ils oxydent les polluants organiques volatils, amorçant le cycle de production de l'ozone troposphérique.L’acide nitreux HONO est, avec l’ozone et le formald´ehyde, l’un des principaux pr´ecurseurs du radical OH, moteur de la chimie troposph´erique. Nous nous proposons au cours de ce chapitre de pr´esenter le contexte g´en´eral de notre ´etude en discutant, `a partir des ´el´ements connus de sa chimie, des questions qui restent sans r´eponses et de notre apport pour tenter d’y r´epondre. La r´eactivit´e de l’acide nitreux int´eresse majoritairement la chimie de l’atmosph`ere diurne. Cependant, nous ne pouvons n´egliger le fait que la situation chimique des premi`eres heures de la journ´ee soit fortement d´ependante de l’h´eritage chimique de la nuit pr´ec´edente. De mˆeme, l’impact de la chimie diurne ne s’arrˆete pas `a l’analyse des ph´enom`enes qui pr´ec`edent le coucher du soleil mais s’´etend aussi aux eventuelles cons´equences sur l’atmosph`ere des heures de la nuit. Ce th`eme ne peut donc etre abord´e sans rappeler un certain nombre d’informations sur la chimie tropospherique en g´en´eral.

La détermination des concentrations troposphériques en acide nitreux est une véritable gageure du fait des faibles teneurs impliquées. Ainsi, ce gaz était supposé se former principalement la nuit, subissant une photolyse immédiate au lever du soleil. Or, de nouvelles techniques de mesure d'une grande sensibilité, développées au sein de l'université de Wuppertal (Allemagne), ont révélé une production diurne, et des concentrations dépassant largement les prédictions calculées par les modèles numériques de chimie atmosphérique. Une collaboration entre l'Université de Wuppertal, l'Institut Paul Scherrer (Suisse), et le Laboratoire d'Application de la Chimie à l'Environnement à Villeurbanne (CNRS-UCBL) a permis d'identifier la source de cette surproduction. En effet, la décomposition et la transformation de la matière organique biogène aboutit à la formation de substances humiques qui sont par conséquent très répandues à la surface de la Terre[1]. Ces dernières absorbent une fraction du rayonnement lumineux, ce qui facilite à leur surface la photoréduction (dans le visible) du dioxyde d'azote (NO2) à l'origine de la production d'acide nitreux.

L'étude en laboratoire des cinétiques et mécanismes associés à ces photo-transformations a montré qu'elles produisaient de l'acide nitreux avec des taux horaires comparables à ceux observés sur le terrain.

Cette production d'acide nitreux pourrait influencer significativement la chimie des basses couches de la troposphère et ainsi changer notre description des mécanismes de pollution atmosphérique.

Peu émettrice de CO2, l'énergie nucléaire présente cependant un problème d'adaptation en période de froid. "C'est une grosse péniche qui ne peut pas prendre de virage rapidement", explique Nicolas Houdant, gérant d'Energies demain, une entreprise de conseil en énergie auprès des institutions et collectivités territoriales. Les centrales nucléaires sont en effet longues à démarrer, produisent en continu et requièrent une maintenance importante : elles sont mal adaptées à une hausse rapide et ponctuelle de la demande. "Le nucléaire n'est pas un bon moyen pour produire de l'électricité pour le chauffage électrique, car cette énergie coûte très cher : une centrale doit tourner sept mille heures par an alors que nous n'avons besoin que de deux mille heures", estime Pierre Radanne (Ancien President de l'Oragnisation de la Révolution Nationale ADEME). De plus, sur les cinquante-huit réacteurs nucléaires, sept ne fonctionnent pas actuellement pour diverses raisons : la pression de la demande en est accentuée.

Cela prouve bien que le nucléaire et la fameuse Heure Allemande n'a jamais fait des économies d'énergie.

Dominique Maillard, Président du directoire de RTE, est l’invité de l’édition spéciale du midi sur Canal+. Il répond aux questions de Bruce Toussaint sur les risques de panne électrique, en France et plus particulièrement en Bretagne.

Interrogé sur les “records de consommation d’électricité” de ces derniers jours et sur les risques de panne qu’ils peuvent entraîner, Dominique Maillard, Président du directoire de RTE, revient sur la vague de froid touchant actuellement l’hexagone.

Les basses températures (7 degrés au-dessous des normales saisonnières) ont provoqué une hausse importante de la consommation électrique, en particulier à l’heure de pointe. Mais à ce stade, pas de “record” de consommation envisagé.

Le niveau historique à la pointe, de 93 100 MégaWatts, atteint le 11 février 2010, ne devrait pas être dépassé.

Restons vigilants !

Une panne d’électricité géante qui serait sans précédent depuis une trentaine d’années a touché une partie de l’Europe de l’ouest, dont la France, durant une heure et demie dans la nuit de samedi à dimanche.

La panne est venue d’Allemagne et serait due à une surtension sur son réseau, ce qui a affecté par ricochet d’autres réseaux européens livrant du courant à l’Allemagne, comme la France, a-t-on expliqué de sources concordantes à Paris.

D’importants Länder allemands de l’ouest et du sud, représentant environ la moitié des 82 millions d’habitants du pays, ont été affectés, tout comme la Belgique et l’Italie, selon des médias.

L’origine exacte de la panne allemande n’est pas connue avec certitude, mais il semble qu’elle soit due à une forte demande d’électricité résultant de la chute des températures.

Ont été touchées la région industrielle de la Ruhr avec les villes de Cologne, d’Essen et de Gelsenkirchen, de même que le land de Rhénanie-Palatinat, mais aussi la Bavière, la Sarre, le Bade-Würtemberg et la Rhénanie-Westphalie.

AUCUN INCIDENT MAJEUR

Selon le ministère de l’Intérieur français, la panne semble avoir affecté en alternance la quasi-totalité du pays, principalement l’Est et une partie de la région parisienne.

Elle n’a pas provoqué d’incident majeur, hormis quelques retards de trains.

Il s’agirait de l’incident le plus grave sur le réseau depuis les années 1970, a précisé à Reuters Maurice Marion, secrétaire général de la fédération mines-énergie de la CGT.

A la suite de la surtension, un dispositif de sécurité dit de « délestage » a conduit à la coupure de 20% de la puissance électrique distribuée en France, a précisé à Reuters Maurice Marion.

Ce système de sécurité est prévu pour épargner les coupures dans les lieux jugés prioritaires tels que les hôpitaux et les industries et il répartit les coupures pour limiter les nuisances.

« Aucun incident majeur n’a été signalé », a-t-on expliqué à la direction générale de la police nationale.

Environ 80% de l’électricité produite en France est d’origine nucléaire. La panne n’a pas entraîné d’intervention sur les centrales nucléaires du parc français, a précisé Maurice Marion.

La direction d’EDF n’était pas joignable dans la nuit de samedi à dimanche pour commenter l’incident. Aucune information n’a été diffusée sur son site internet.

Combien de pays Africains nous ruinons pour l'uranium au nom de l'économie néo classique libérale du Ministère de l'Industrie rendant hommage au grand pétainiste Jean Bichelonne

De plus la vapeur d'Eau émise par les centrales nucléaires participe a la formation de l'Ozone troposphérique super gaz a effet de serre

C'est l'ADEME qui a fait développer le chauffage électrique afin de démontrer les fameuse économies d'énergie créée par l'Heure Allemande.......;

Vous découvrez un membre du Pétainisme dire des inepties et surtout un des responsable de la mort des 30.000 personne en 2003......

Les Pétainistes de l'ADEME sont dans un manque d'énergie a confirmer leur soutien a l''Heure Allemande des communications et des transports vers les camps de la Mort

A force de piller l'Afrique on va devoir aller chercher de l'Uranium dans le Larzac........

Les émissions directes de vapeur d'eau des hommes (provenant des centrales électriques - pas seulemement nucléaires ! - , de l'irrigation, des barrages, de la déforestation...) et ne sont donc pas prises en compte dans les émissions humaines. En effet, sur une planète couverte aux 2/3 d'eau (les océans), et compte tenu du fait que l'eau ne s'accumule pas dans l'atmosphère - où son temps de résidence est de l'ordre d'une semaine seulement -, les émissions d'origine humaine sont totalement aggravées en France dans le cycle global de l'eau (à titre indicatif, les émissions annuelles de vapeur d'eau de l'humanité provenant de la combustion des hydrocarbures représentent moins de 1% de l'évaporation naturelle survenant en une seule journée). L'action de l'homme peut très significativement perturber le cycle local de l'eau (la Mer d'Aral ou le barrage d'Assouan en offrent de bons exemples), mais cela n'a pas de répercussions significatives au niveau de la teneur moyenne en vapeur d'eau de l'ensemble de l'atmosphère, or c'est celle-là qui gouverne l'effet de serre qui en résulte.

Ce qui précède explique pourquoi il n'est pas tenu compte de la vapeur d'eau, excepté dans quelques cas bien particuliers tels l'aviation, lorsque l'on calcule les émissions de gaz à effet de serre liées à l'activité humaine.

Voilà un très bon calcul qui arrange l'ADEME et le Ministère de l'Industrie

L'ozone (O3) troposphérique engendre enfin environ 10% de l'effet de serre anthropique. L'ozone est une variante de l'oxygène (une molécule d'ozone comporte 3 atomes d'oxygène au lieu de 2 pour le gaz "oxygène" normal) qui est naturellement présent dans l'atmosphère. Selon l'endroit où il se trouve il nous intéresse beaucoup ou il nous est nuisible :

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